samedi 31 janvier 2009

le cheval de Troie

Tout le monde connait la fameuse histoire du cheval de Troie, mais qui sait vraiment où ça se trouve? A part ceux qui ont vu un des derniers films de Brad Pitt, pas grand monde. Et bien, c'est là au nord-ouest de la Turquie de son vrai nom Truva. Plus qu'un mythe, la légende du cheval de Troie a bel et bien existé à l'époque antique. Les Grecs menaient une bataille depuis déjà 10 ans contre l'armée troyenne quand ils ont eu l'idée de quitter leur campement et d'offrir un cadeau empoisonné aux Troyens, un gigantesque cheval. Prenant ça pour un cadeau des dieux, les Troyens acceptèrent et firent une énorme fiesta pour fêter la victoire contre les Grecs. Au milieu de la nuit, alors que les villageois étaient ivres mort, quelques grecs cachés dans le cheval sortirent et tuèrent les gardes pour y faire entrer le reste de l'armée. Ils détruisirent tout en ne laissant aucun survivant...
On ne comprend pas comment les Grecs qui étaient une grande puissance, aient pu mettre dix ans à envahir un si petit village... en même temps quand on voit le mal qu'a eu César pour avoir la gaule! Oups, ça fait pas très bataille ça! quand on voit le mal qu'a eu César pour conquérir le petit village gaulois, on peut éventuellement comprendre... Peut-être que dans 10 ans, on découvrira que les Troyens aussi avaient la potion magique...
Un site pas vraiment comme on peut l'imaginer, ils en ont fait un musée en plein air que l'on paie 10 euros. On peut y voir seulement quelques ruines, des fondations, des tas de pierre et un cheval reconstitué,


















vendredi 16 janvier 2009

Istanbul le 16 janvier

Déjà le 16 janvier, que le temps passe vite!!!
Partis de Varna le 2 janvier après un réveillon plutôt calme dans une ville que l'on pensait plus animée. Un petit concert sur la place, un beau feu d'artifice et nous sommes rentrés à l'auberge souhaiter la bonne année à nos poissons rouges qui nous ont attendus sagement...
En repartant, Fred a voilé sa roue, problème qu'il pensait être banal, mais au moment de réparer, ce sont les rayons qui lâchaient les uns après les autres. Pas de rayons de rechange et pas un magasin de vélo à quelques km à la ronde, mais heureusement une station de bus qui nous amène à Burgas à une soixantaine de km de là, toujours au bord de la mer noire. Entre ces deux villes, le tourisme fait rage de plus en plus, la côte sauvage devient un hamas de béton, des milliers et des milliers d'immeubles ont vu le jour les quelques dernières années, et ce n'est pas encore fini. Un énorme fossé se creuse entre la partie EST de la Bulgarie qui s'enrichie grâce au tourisme et de la partie OUEST qui reste très pauvre.
Nous passons le week end à Burgas en attendant que les boutiques de vélos ouvrent leurs porte. Habitant au bord de l'alantique ce qui me parraissais a l'autre bout du monde il ya quelques mois est aujourd'hui à mes pieds, nous pouvons enfin fouler le sable de la mer qui se jour la, a un sable plus blanc que blanc, encore mieu qu'aux glénan.



Des sources d'eau chaude a 38° alimente un petite piscine en bord de mer qui fait le bonheur des anciens qui viennent si beigner.



La semaine précédente, les températures avaient chuté terriblement et n'étaient pas montées au dessus des -5 en journée, -10 à 18h, et maintenant c'est la neige, il se met a neiger, neiger à ne plus s'arrêter. Plus de 30cm par endroit, les routes sont très très mal déneigées, une vraie galère. Difficile de planter la tente dans ces conditions, un soir ne sachant pas où dormir, un commerçant nous envoie chez un de ses amis, une grande maison mais très mal entretenue. Il nous a permis de dormir au chaud, mais avec l'ami le rat qui nous a tenu compagnie toute la nuit, beurk.
Les kilomètres deviennent de plus en plus long et difficiles à seulement 10 km de la frontière qui est en altitude. On se voit obligés de passer une dernière nuit en bulgarie pour attaquer frais et dispo, mais sous la neige, la montagne de bon matin. Je crois n'avoir jamais transpiré autant en hiver de toute ma vie. Ce sont les 10 km les plus longs de tout le voyage; obligés de finir les derniers 100m à pied, ne plus pouvant avancer. Le douanier bulgare qui parlait un peu Français nous dit que nous sommes fous de faire du vélo par ce froid. Je le regarde l'air dépité et le front dégoulinant de sueur et lui dit "t'as l'impression qu'on a froid nous!!!". Un petit contrôle passeport, puis il appelle ses amis des bureaux pour amuser la galerie. Un dernier au revoir à la Bulgarie qui restera avec la Serbie notre coup de coeur pour sa population...; et nous pouvons enfin passer au contrôle turc. Bien sûr, pas besoin de visa pour la Turquie, un simple passeport suffi, un beau tampon rouge et c'est parti pour une superbe descente sur une magnifique route, parfaitement déneigée, les derniers flocons sont restés en Bulgarie, les nuages se dissipent très vite pour faire apparaître enfin le soleil. On nous avait dit qu'en Turquie, nous allions gagner facilement 5°c mais je ne pensais pas à un changement aussi radical. Alors qu'en Bulgarie, il devait faire 0°c avec plus de 35 cm de neige, 20 km après la frontière, nous avions 6°C et plus que quelques taches blanches dans les fossés... J'ai vite fais quitté l'écharpe et les gants. Nous pensions en avoir fini pour quelques temps avec le froid et la neige, mais la météo en a voulu autrement. Notre première nuit en Turquie fut plus fraîche que prévue et les quelques premières gouttes de pluie se sont par la suite transformées en neige, qui a très vite pris le dessus sur la tente. Pas très agréable de devoir déneiger la tente devenue igloo, en caleçon en pleine nuit!












Les gens sont souvent très surpris de nous voir et nous font toujours un signe de la main pour nous dire bonjour, les gamins dans les écoles ou dans les rues, les yeux émerveillés par notre chargement, crient "hello, hello ,hello..." jusqu'à ce qu'ils ne puissent plus nous voir. Ou lors des petites poses en ville, viennent nous réciter tous fiers leurs 3 phrases d'anglais.
250km après la frontière, c'est une l'énorme banlieue d'Istanbul qui nous ouvre ses portes; des milliers de minibus nous doublent dans un brouhaha infernal de bruits de moteur, de klaxons... Pas de panneau "centre ville"; à chaque fois que l'on demande, c'est pas compliqué, c'est toujours tout droit. Une petite frayeur sur un petit périf et nous voilà aux portes de Topkapi, quelques ruines qui formaient autrefois les murailles de la ville. Un homme nous indique le quartier des hostels. Le premier sera complet, va pour le deuxième "Istanbul hostel" 17 YTL (1 Euro= 2 YTL) pour un lit en dortoir. On y rencontrera dès notre arrivée David et Chantal en balade en Turquie pour 15 jours.

Istanbul, autrefois appelé constantinople, au temps ou elle appartenait à la grèce anthique, la seule ville au monde a être séparé par deux continent car la turquie n'a seulement que la partir au nord d'istanbul sur le continent européen, carrefoure du monde elle contient dans son histoire une multitude de culture d'architecture differente, pendant 1000 ans elle fue la plus grande église des chrétiens, aujourd'hui comme toute la Turquie elle est de religion musumlman, au centre dans le vieu quartier de Sultanahmet, de monumentales mosqué avec d'immense minaret rytme la journée des croyants qui 5 fois par jours a heure differente suivant la lune, annonce dans toute la ville par des hauts parleurs l'appel a la prière. La premiere est au alentour des 6h du matin, les premiers jour en turquie ca fais tout drole d'entendre l'himam hurler dans son micro, mais on si fais tres vite.

c'est aussi le grand bazaar un gigatesque labyrinte qui habrite plus de 3000 boutiques en tout genre, les couleurs magnifiques des tapies, des lampes, des épices vous fond tourner la tête.






















Comme d'habitude, nous découvrons le pays une fois sur place, au courant rien. Chantal et David nous font découvrir une région de Turquie, la Cappadoce, et la ville de Göreme, un site surprenant qui se trouve à 700 km d'Istanbul relié par des bus de nuit. Vu qu'ils y allaient, on s'est dit "pourquoi pas?". Un petit arrangement avec l'hostel qui nous a gardé gentillement les vélos et les sacs, et nous voilà partis pour 4 jours de détente et de vacances en bus à la Cappadoce...
Un site classé à l'UNESCO, car unique au monde et complètement hors du commun; une sorte de paysage lunaire terriblement aride. Créés il y a des millions d'années à partir d'éruptions volcaniques refroidies subitement dans une mer aujourd'hui disparue, les "Cheminées de Fées", rochers aux drôles de formes (dont certain pourons en avoir l'espris mal placer)forme un paysage somptueux, constitués de tuf très friable, sont apparues. Les hommes ont creusé l'intérieur pour y faire leurs habitations, ce qui est devenu le village de Göreme.
Nous sommes logé au rock valley penssion une très bonne adresse ou nous y avons renconter Djémal un tres bon guide qui nous a fait visiter la région.
























samedi 10 janvier 2009

Istanbul le 9 janvier 2009

Nous voilà donc arrivés dans cette énorme ville d'Istanbul après quelques petites galères de Bulgarie qui resteront de bons souvenirs...



la suite dans quelques jours aprés une balade en bus en Cappadoce dans le centre de la Turquie.

samedi 3 janvier 2009

BONNE ANNEE 2009 A VOUS DEUX !!!!!!!!


Pleins de kilomètres pour cette nouvelle année !!!!!!!

jeudi 1 janvier 2009

bonne année


Bonne année 2009 à tous et toutes, ou nova goudina comme on dit ici.
Actuellement à Varna, deuxième ville de Bulgarie, sur le bord de la Mer Noire pour fêter ce jour de l'an, nous reprenons la route pour Istanbul ...